André Zdacek - Synergie Régénération - Naturopathie énergétique & hygiéniste dans la Vallee de la Bruche

Naturopathie

naturopathie dans la Vallee de la Bruche

« Rien n'est la proie de la mort, tout est la proie de la vie. »

 

Naturopathie énergétique & hygiéniste

La naturopathie s'appuie sur l'idée que nous pouvons nous soigner en utilisant ce que propose la nature et le vivant. Ainsi, nous pouvons renforcer le potentiel homéostatique de l'organisme, sa capacité au retour à la santé et à la vitalité par l'auto-régulation et l'auto-réparation.

Son objectif est le maintien en pleine santé tout au long de la vie et l'expression de la vitalité. Les interventions peuvent se faire à différents stades (ou niveaux) : rétablissement, préservation, entretien, consolidation ou amélioration.

Six grands principes guident toute intervention en naturopathie :

  • la nature guérit ;

  • d'abord ne pas nuire ;

  • identifier et traiter la cause ;

  • guérir la personne dans son ensemble ;

  • éduquer à la santé ;

  • la prévention.

 

L'énergétique est une manière d'envisager le soin que j'aborde personnellement par la digitopuncture, dans le respect des principes fondamentaux de la médecine traditionnelle chinoise. 

Son but est aussi d'optimiser l'homéostasie du corps humain, ses capacités d'auto-régulation et d'auto-réparation, par la sollicitation manuelle de points choisis des méridiens énergétiques.

Cette dimension de mes pratiques fait l'objet d'une section dédiée.  Elle est détaillée dans le menu "Pratiques" à l'onglet "Digitopuncture" (ci-dessous également).

 

L'hygiénisme est une logique qui défend l'idée que le respect quotidien des facteurs clés de santé contribue à soutenir l'homéostasie de l'organisme, ses capacités d'auto-régulation et d'auto-réparation ; encore et toujours.

Carences, excès ou intoxications réduisent ces capacités. Pour profiter pleinement des logiques de l'énergétique ou de la naturopathie, il faut une vitalité suffisante. Commencer par enlever ce qui enfreint avant d'ajouter ce qui peut favoriser est une stratégie préliminaire qui fait sens. Intervenir le moins possible doit guider toute philosophie de soin.

 

Nota Bene

Nous devons intégrer le constat d'une évolution historique des facteurs de santé en accélération exponentielle, au moins depuis le milieu du XXème siècle. Avant, l'air et l'eau étaient moins pollués, les fruits et les légumes étaient plus riches en nutriments, il y avait moins de pollution électromagnétique. L'humain bénéficiait de plus de temps de repos, il avait des activités moins stressantes et les écrans n'avaient pas envahi son existence. Le monde moderne contemporain se caractérise malheureusement par plus de carences, plus d'excès et plus de sources potentielles d'intoxication.

Beaucoup de malades se retrouvent ainsi dans des « angles morts » de la médecine conventionnelle, pris dans des pathologies nouvelles ou fabriquées. Cela oblige à adapter sur-mesure les postures de soin. 

Toutes les traditions ancestrales de vie, de santé et de soin – d'où qu'elles soient – ont toujours prôné la mesure, la modération et la recherche en toutes choses de la voie du juste milieu.

naturopathie

« La souffrance est l'état d'un être qui n'est pas dans sa voie. »

 

La naturopathie, pour soutenir les fonctions organiques avec ce que nous offre la nature.

L'énergétique, pour calmer, relancer ou stimuler la circulation des énergies qui animent le corps humain.

L'hygiénisme, pour avant tout arrêter de construire des obstacles au fonctionnement spontané du corps humain.
 

La synergie de logiques de soin convergentes

pour favoriser la régénération

et retrouver votre guérisseur intérieur.

Les six disciplines de la naturopathie énergétique & hygiéniste

Énergétique traditionnelle
chinoise & taoïste

Homéopathie
&
Isothérapie

Phytothérapie
Gemmothérapie
Oligothérapie

Pratiques régénératrices
&
Gestion des émotions

Diététique
Nutrition
Alimentation vivante

Reconnexion à la nature
&
au vivant

Énergétique traditionnelle chinoise & taoïste

Je pratique des soins de bien-être, des gestes simples, avec mes mains. Pour réveiller l'énergie. C'est non-invasif et rarement douloureux. Cela ne nécessite pas de se déshabiller, juste de découvrir parfois certaines parties du corps pour les libérer un peu des couches de vêtements. Ceci peut aussi faciliter le repérage et la sollicitation des points des méridiens.

La digitopuncture cible des points précis, choisis. Il s'agit de mobiliser les capacités énergétiques du corps. L'objectif visé est la réharmonisation des circulations énergétiques, la dispersion des excès, la tonification des insuffisances, la stimulation de l'énergie vitale.

Je respecte les principes de l'énergétique traditionnelle chinoise et taoïste, notamment dans la prise d'informations (l'observation, le questionnement, la prise des pouls radiaux et la palpation).

 

La moxibustion consiste en la sollicitation de certains points des méridiens par le rayon infra-rouge produit par la combustion d'un bâton d'armoise incandescent. Elle peut aussi se faire à la maison, entre deux séances. Avec prudence et dans le respect des recommandations.

 

Ce sont quelques millénaires de connaissances et de pratiques qui soutiennent cette discipline thérapeutique. Elle a traversé les territoires et les âges ; elle est encore vivace.

 

Les objectifs d'une séance d'énergétique traditionnelle chinoise & taoïste sont :

  • traiter les symptômes du trouble ;

  • équilibrer le système énergétique ;

  • renforcer le potentiel de défense :

  • normaliser le travail des organes.

 

Les moyens sont des protocoles thérapeutiques efficaces (traditionnels ou modernes), qui ont fait leurs preuves sur des troubles fonctionnels ou lésionnels. Ils peuvent agir à différents niveaux thérapeutiques :

  • techniques superficielles dites symptomatiques

    (traitement spécifique du symptôme)

  • techniques à action plus profonde, capable d'harmoniser l'ensemble des énergies de l'organisme

    (traitement de fond)

  • techniques permettant d'éliminer l'agent pathogène en cause

    (microbe, substance toxique, agression psychique, agression climatique, traumatisme physique ou psychique, …)

 

Pour obtenir un résultat prenant un caractère définitif (si ce mot a un sens), l'expérience montre qu'il est souvent nécessaire de rechercher les causes réelles du trouble. Lorsqu'elles n'ont pas été totalement neutralisées, « digérées » et éliminées, les différentes agressions vécues au cours du temps (physiques, psychiques, infectieuses ou toxiques) laissent leur empreinte dans l'organisme et génèrent le trouble. La récurrence est un obstacle supplémentaire à surmonter : quelle est la cause des causes, mais aussi – si c'est le cas – pourquoi revient-elle ?

Plus d'informations dans la  section dédiée : menu "Pratiques" - onglet "Digitopuncture".

Homéopathie & Isothérapie

Envoyer au corps ou à l'esprit une information infinitésimale en espérant une réponse (et l'amélioration d'un trouble) est aussi une stratégie à envisager. L'homéopathie et l'isothérapie consistent en la prise de granulés imprégnés de dilutions infinitésimales de substances diverses (bien choisies), issues du monde minéral, végétal ou animal.

 

L'homéopathie se base sur le principe de la similitude des symptômes.

 Une substance qui  – prise à dose pondérale – provoque chez un individu sain un certain nombre de symptômes, peut – prise à des doses diluées, infinitésimales et dynamisées – par un individu malade présentant des symptômes similaires,  provoquer une amélioration de son état (voire la guérison).

C'est l'essence de la discipline découverte par Samuel Hahnemann.

Elle date du la fin du XVIIIème siècle, elle traverse les époques malgré toutes les embûches et attaques. Elle s'appuie sur trois principes fondateurs : la similitude, l'individualisation et la dilution infinitésimale.

L'homéopathie, ce n'est pas le traitement du "mal par le mal" ; c'est plutôt le traitement du mal par quelque chose qui ressemble au mal. Comme pour la logique de la vaccination, on utilise une substance susceptible de faire du mal que l'on détourne de son action initiale. Dans les deux cas, on sollicite les défenses de l'organisme, mais la vaccination est préventive quand l'homéopathie est curative. Le vaccin est le même pour tous ; en homéopathie, on choisit la substance en fonction du cas particulier. De plus plus, un vaccin a pour origine le véritable agent de la maladie alors que l'homéopathie utilise une substance donnant des symptômes voisins de la maladie à traiter. Enfin, le vaccin est atténué mais reste à dose pondérale, alors que l'homéopathie est prescrite à dose infinitésimale.

 

L'isothérapie est un dérivé de l'homéopathie qui se base sur le principe des semblables de cause.

Une substance prise à dose pondérale qui a provoqué un trouble pourra améliorer l'état (ou apporter la guérison) du malade si elle est prise à des doses diluées, infinitésimales et dynamisées.

450 ans avant Jésus Christ, Hippocrate écrivait déjà : « Toute substance capable de provoquer une maladie qui n’est pas est capable de guérir cette maladie lorsqu’elle est ».

Cette logique résonne aussi avec les travaux de Paracelse qui formula au XVIème siècle le principe : « similia similibus curantur » (les semblables soignent les semblables).

L'isothérapie peut sembler plus se rapprocher de la logique vaccinale que de l'homéopathie. Cependant, l'utilisation de doses infinitésimales plutôt que pondérales suit la logique du troisième principe fondateur de l'homéopathie : la dilution infinitésimale. Cela place ce traitement sur le plan de la logique informationnelle.

L'isothérapie utilise des préparations de l'agent causal de la maladie, mais ils ne sont pas forcément d'origine pathologique, ni fabriqués à l'avance, à partir de souches communes à tous les patients. Ils peuvent être fournis au laboratoire par le patient et préparés spécialement pour lui. Dans ce registre, les biothérapiques sont des produits d'origine microbienne, des sécrétions, des excrétions ou des produits allergisants ; il s'agit de produits pathologiques ou directement responsables de pathologies. Ils sont intéressants pour parer aux situations dans lesquelles le traitement homéopathique bien indiqué n'agit pas, notamment dans le domaine des infections et allergies.

 

Ces démarches sont ambitieuses et appellent à la modestie et à l'humilité. On ne peut rien prédire, juste traverser l'expérience et accepter les résultats. Leur absence de toxicité conduit les détracteurs à douter de la potentialité des effets positifs et à parler d'effet placebo dans les cas de succès. Son faible coût invite à ne pas se priver de cette option. En outre, l'éventualité d'une amélioration ou d'une guérison par effet placebo n'a aucune raison d'être exclue, fuie ou ridiculisée ; bien au contraire. Elle est d'ailleurs inhérente à toute thérapie. Tout peut-être placebo : des études ont évalué que 30% environ des cas de guérison, dans tous les domaines y compris la chirurgie, relèvent de l'effet placebo.

La validité et l'efficacité de l'homéopathie et de l'isothérapie ne sont scientifiquement évaluable qu'au seul prix d'expériences et d'études à grande échelle et sur longue durée. Aucune n'a encore réussi à clore les débats qui ravissent les débatteurs, mais nombreuses sont celles qui invitent à poursuivre les efforts des fondateurs de ces disciplines.

 

Nota Bene:

L'énergétique traditionnelle chinoise & taoïste et l'homéopathie se rejoignent et se complètent tant dans leur manière de recueillir l'information avant d'agir que dans leur logique visant à accompagner les capacités vitales plutôt que de lutter contre une symptomatologie. Ce qui importe le plus, c'est le terrain ; c'est la nature qui guérit.

Les autres disciplines ci-dessous s'inscrivent dans cette même continuité qui vise la régénération du corps et de l'esprit par la synergie dans une approche naturelle, symbiotique et globale.

Phytothérapie / Gemmothérapie / Oligothérapie

Ces trois méthodes naturelles basées sur les plantes, les bourgeons et les minéraux peuvent être utilisées pour soutenir les fonctions physiologiques, améliorer le fonctionnement des organes et faciliter les réactions biochimiques de l'organisme. Bien dosées, elles ne présentent que rarement d'effets secondaires, mais il faut toujours être prudent et raisonnable ; éviter les abus tout en comblant les carences. Comme pour tout, une information éclairée et des expériences mesurées et prudentes doivent nous guider.

 

La phytothérapie utilise les propriétés curatives des plantes médicinales, envisagées dans leur totum (la globalité de la plante) ou dans leurs différentes parties (racines, tiges, feuilles ou fleurs). Elles peuvent être prises en poudre, gélules, macérats (gouttes) ou tisanes.

 

La gemmothérapie utilise les propriétés curatives des bourgeons de plantes, qui ont souvent des propriétés différentes des plantes elles-mêmes. La dilution dans des macérats glycérinés concentre les principes actifs des bourgeons. Elle consiste en des gouttes à diluer dans un verre d'eau.

 

L'oligothérapie utilise les oligo-éléments, les minéraux nécessaires à la vie mais non produits par l'organisme. On ne peut donc que les apporter de manière externe, notamment par l'alimentation. Cette dernière en comporte d'autant moins qu'on n'a pas une alimentation principalement végétale, vivante et variée. Cette carence est aggravée par l'appauvrissement progressif des sols et de la valeur nutritionnelle de ce qui y pousse. Les oligo-éléments interviennent comme catalyseurs dans nombre de réactions biochimiques des processus physiologiques. Leur défaut peut fragiliser le fonctionnement de l'organisme. Une supplémentation par voie orale peut donc être bénéfique, sous forme de poudre, cachets, gélules ou gouttes.

Pratiques régénératrices & Gestion des émotions

Je propose ici des conseils et recommandations de bien-être qui consistent en des adaptations comportementales – quand c'est nécessaire – ou des changements d'habitudes – quand c'est possible. Toujours avec prudence et mesure, dans la limite de ses capacités d'adaptation.

 

La respiration, le mouvement, la thermothérapie, le repos, la méditation et le jeûne sont des pratiques connues et reconnues, mais pas toujours simple à intégrer dans son mode de vie.

Nous sommes ce que nous faisons... et l'attention que nous portons à l'entretien des processus physiologiques élémentaires.

Pourtant, il ne faut souvent guère plus de 5' pour évoquer l'un ou l'autre des exercices bien choisis dans ces familles de pratiques. La difficulté est de penser à les faire et de les intégrer dans sa vie. Trois semaines de discipline quotidienne et un an de pratique régulière hebdomadaire peuvent les transformer en habitude pour toute une vie.

Les effets sont alors souvent étonnants et démultiplient les potentialités des autres stratégies thérapeutiques évoquées plus haut. Mon devoir est donc de toujours être dans la promotion de leur pratique, dans la limite des capacités d'adaptation de chacun ; et de ce que peut supporter un emploi du temps. À l'impossible, nul n'est tenu ; mais rien ne doit être impossible quand il s'agit de prendre soin de soi.

Ces pratiques mettent à l'épreuve et en jeu l'état d'esprit (le fameux "mindset"). Les fonctions psychiques (imagination, intelligence, mémoire, instinct ou volonté) et les émotions (colère, joie, réminiscence, tristesse ou peur) ne sont pas déconnectées des fonctions physiologiques et organiques. Elles s'engendrent et s'entretiennent mutuellement, dans des cercles vertueux... ou vicieux.

 

Les émotions sont motrices. Parce qu'une époque qui va trop vite dans trop de directions les sollicite beaucoup, il faut savoir les ménager. La voie consistant à les nier, à les éviter ou à les fuir est une impasse. Ce serait se passer d'une énergie et d'une dynamique essentielles et fondatrices.

Le bon chemin est de les accueillir en leur donnant leur juste place ; de faire l'effort de les resituer dans le développé de ce qui les fait naître (leur source) et de ce qu'elle permettent (la mobilisation et l'action).

 

Le lien entre les pratiques régénératrices et la gestion des émotions est évident, naturel et fécond.

L'état d'esprit qui les guide relève de l'entraînement et de la répétition.

Diététique / Nutrition / Alimentation vivante

Elles parlent toutes les trois un peu de la même chose. Elles sont des points d'attention évidents. Elles sont néanmoins souvent négligées ou malmenées par nos rythmes de vie, nos modes de consommation modernes et la banalisation des produits alimentaires « pratiques » (tout faits) mais pauvres en valeur nutritionnelle et remplis d'additifs chimiques délétères.

L'industrie agro-alimentaire fait souvent preuve au mieux de négligence, au pire d'une logique visant à l'accoutumance ou l'addiction à des substances contre nature qui empoisonnent progressivement les organismes. A de notables mais trop rares exceptions, elle pense avant tout à son chiffre d'affaire, pas à notre santé.

Nous sommes ce dont nous nous nourrissons.

Nous parlons ici de tout ce que nous mangeons et buvons ; quand, comment et pourquoi, aussi. Il y a tant à dire et nous sommes tous si différents que l’adaptation au cas par cas et l’écoute de soi doivent nous guider. Les types de régimes et les modes passagères se multiplient et l'on s'y perd.

Les intestins sont l'habitat de la plus grande partie de notre microbiote, le siège principal de nos défenses immunitaires. Ils sont les garants d'une bonne gestion de l'équilibre acido-basique de notre organisme. On parle des intestins comme du 2ème cerveau. Comme il communique avec le premier par le nerf vague et qu'il y aurait plus de circulation d'informations ascendante que descendante, on peut même se poser la question de l'ordre et de la hiérarchie entre les deux.

Ce que nous mangeons ne peut être anodin ; tout a été dit et écrit sur les produits transformés et ultra-transformés. Les intestins sont aussi les premiers impactés par une mauvaise gestion du stress et des émotions, ou encore un manque de mouvement ; la relation inverse est toute aussi vérifiée et importante.

Des grands principes existent et peuvent nous secourir. J'ai ici une mission de sensibilisation que je n'oublie jamais. Une alimentation majoritairement végétale, vivante et variée (règle des 3V), jamais excessive, préparée avec attention, ingérée avec conscience et tranquillité, après une mastication appliquée, suivie d'une digestion paisible sont des incontournables ; grignoter le moins possible entre les repas, tout aussi vertueux.

Reconnexion à la nature & au vivant

Cette discipline peut sembler plus abstraite, voire farfelue. Pourtant, il n'en est rien. C'est au contraire très concret et très sérieux.

Nous sommes notre environnement.

Quand nous évoquons la nourriture, nous parlons également de tout ce dont nous nourrissons nos cinq sens, pas seulement notre estomac et la sphère digestive. Donc, de tout ce qui s'offre à notre perception sensorielle, de tout ce qui nous entoure. En plus du goût (principalement par l’alimentation), la vue, l'ouïe, l'odorat et le toucher doivent être nourris par la nature et le vivant.

Quoique nous fassions, où que nous soyons, nos sens sont toujours en éveil et se nourrissent de tout ce qui se présente à eux, même si nous n'en avons pas conscience. Il est urgent de s'en rendre compte. 

Même en ville, il est possible de réintégrer dans son quotidien des pratiques régénératrices d'une simplicité et d'un plaisir enfantins. Encore plus en famille, du coup. C'est la responsabilité des adultes d'offrir ce qui est devenu un luxe aux enfants et aux aînés ; de se l'offrir à eux-mêmes, aussi. C'est presque toujours gratuit, en plus.

Je partage donc volontiers des pratiques saines et joyeuses à traverser par l'expérience. Là encore – devenues habitudes – ces pratiques soutiennent un fonctionnement physiologique équilibré et harmonieux. Elles favorisent l'intégration de tous les autres soins que l'on veut bien s'apporter ou se laisser apporter.

Se reconnecter à la nature & au vivant, c'est aussi se déconnecter des pollutions électro-magnétiques et donc être lucide sur l'augmentation de notre exposition aux champs de ce type, notamment dans notre habitat. Là encore, les prises de conscience permettent la mise en place de solutions préventives.

 

C'est aussi contre les multiples formes du séparé que nos luttons. Pour réconcilier le singulier et l'universel qui sont en nous.

 

Ce qui est bon pour nous, c'est le bien, le vrai, le beau et le juste.

Mythologie

Hygée et Panacée sont les déesses filles du dieu de la médecine, Asclépios, et de son épouse, Épione, déesse de la santé.

Hygiée a inspiré l'hygiène pour traduire le soin à soi, la beauté et la santé rayonnante. Panacée a inspiré la panacée pour traduire le pouvoir curatif des plantes.

Les trois autres soeurs de la fratrie sont :

  • Iaso (la récupération d'une maladie) ;
  • Méditrine (la guérisseuse) ;
  • Acéso (le processus de guérison).

Les trois frères de la fratrie sont :

« Le meilleur de la tradition et le meilleur de la modernité  au service de la régénération du corps et de l'esprit. »

Réalisation & référencement Simplébo

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